Il y a les potes avec qui on passe parfois de bons moments, qu'on prend plaisir à voir mais qui, tout bien réfléchit, ne nous manquent pas tant que ça si on se trouve loin d'eux.
Et puis il y a les amis, les vrais. Ceux pour lesquels l'amitié s'est liée sur des centres d'intérêts communs (études, hobbies, parfois même les deux à la fois), et puis ceux avec qui on ne partage à première vue pas grand chose, ni style de vie ni job, mais avec qui on peut passer des soirées entières a parler de tout et n'importe quoi. Ceux qu'on a rencontré au hasard d'une colocation dans un kot étudiant, ou qui kottait avec un ami, de ces rencontres qu'on "n'a pas choisies". Ceux qui partent loin et longtemps (Kenya, Chili... Bon, ok, j'ai fait pire) mais avec qui rien a changé lorsqu'on se retrouve.
De ces amis, j'en ai peu. Quatre pour être précis. On ne forme même pas une "bande" puisqu'ils ne sont pas directement connectées entre-eux, même si ils se connaissent tous l'un-l'autre.
C'est peu, c'est vrai, mais ce sont ceux qui comptent le plus pour moi, ceux qui me sont "nécessaires". Et même si je pars faire ma vie à l'étranger comme c'est prévu, je sais que le lien qui nous lie tiendra, alors que je suis la plus mauvaise pour maintenir des relations "de convenance".
Et avoir des vrais amis, c'est aussi trouver un "plagiat kit" dans sa boîte au lettre en rentrant d'une journée de boulot pas terrible.
Véritable roulette chinoise et Vliesofix... J'ai déjà les neurones qui cogitent de ce que je vais en faire! |
Comme on dit: "les vrais amis se comptent sur le doigt d'une main"
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